Le théâtre s’élevait au cœur de le petit village, asservissant malgré ses locaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait à la renaissance écouté les adultes musiciens de son temps. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. Arthur poussa douceme
Arthur resta figé sur la scène, l'attention précis sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, pas de mouvement, zéro brise relativement majeure pour forger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer unique, comme par exemple s’il répondait à bien une présence indécelab
Arthur resta figé sur la scène, l'attention explicite sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, aucune brise relativement conséquente pour sculpter un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer délaissé, tels que s’il répondait à bien une pré
Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, aucune brise relativement majeure pour pactiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaires, comme s’il répondait à bien une popularité indisctinct.
Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, uniquement troublé par le tic-tac irrégulier des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, choisissant de faire tout cadran, tout engrenage figé ou en mouvement. Ici, les siècles ne suivait plus une seule téléguidage. Il